Alors qu’avec les bookmakers nous semblions faits pour s’entendre, ce n’est finalement pas l’amour fou. Et pourtant notre histoire commune avait bien commencé. Sûr de moi et de mes connaissances en foot et en tennis, j’allais plumer les bookmakers... Évidemment, j’ai vite déchanté, sur les sports comme le foot et le tennis les bookmakers sont au point. Un bookmaker possède des logiciels de statistiques puissants pour calculer la probabilité la plus juste des paris proposés. Si on regarde les cotes des matchs de foot, on constate qu’elles sortent tôt et ne bougent pas beaucoup. La majorité des gains des bookmakers se font sur le foot, alors si vous ne jouez pas sur le foot, on ne vous aime moins, et en plus si vous gagnez un peu, là on ne vous aime plus du tout. Mes premières déconvenues sur le foot et le tennis m’ayant amené à ne plus parier sur ces sports, les bookmakers ont commencé à me traiter différemment. Les paris annulés après la rencontre, les cotes modifiées après la rencontre, les limites de gains ou de mise ont commencé à arriver. Actuellement je ne peux miser plus de 3 euros chez Pmu, quasiment la même chose chez Unibet, pas plus de 60 euros de gain maximum chez bwin, limité suivant les épreuves chez betclic, il n’y a que chez ParionsWeb où je n’ai pas encore senti des limites surement car je ne suis pas un gros parieur mais les cotes et le SAV sont déplorables. Je constaterais juste que ParionsWeb n’est pas l’enfant d’un bookmaker étranger…

Alors pourquoi les books n’aiment pas mes habitudes de pari comme ils l’indiquent ? D’abord surement comme dit plus haut car je ne parie que très rarement sur le sport qui génère le maximum de gain pour eux : le foot. Ensuite car j’anticipe beaucoup, un peu comme aux échecs, j’essaye d’avoir un coup d’avance. Pour les Jeux olympiques d’été, j’ai commencé à parier en avril quand certains bookmakers ont sorti leurs cotes. Pour certain des paris, la cote le jour de l’épreuve était beaucoup plus basse. Et pourtant les bookmakers devraient être fair-play puisque si le concurrent ne participait pas aux JO, blessé, dopé ou non sélectionné, le pari était compté faux pour moi, et donc tout bénéfice pour le bookmaker. Pour les championnats de volley ou de basket, je parie en milieu de semaine avant que les cotes ne baissent si j’ai eu le bon feeling. De plus, je n’assure jamais mon pari en pariant l’inverse une fois que la cote de l’adversaire est bien montée.  

Vous trouverez pour chaque bookmaker, la façon dont ils traitent leurs clients.